Jeux olympiques: une athlète rapatriée de force, elle aurait peur pour sa vie


La délégation biélorusse avait exigé le rapatriement de sa sprinteuse, après que celle-ci ait ouvertement critiqué son coach sur les réseaux sociaux.

Elle a alors été déclarée forfait au 200 mètres féminin, et conduite de force à l?aéroport par la sécurité des Jeux.

A l'aéroport, elle va faire une demande d'asile en Pologne et demander une protection policière. Elle affirme que son pays est une véritable dictature et qu'elle sera emprisonnée, voir tuée si elle était rapatriée.

Pour le moment, son rapatriement a été annulé. Elle a été placé sous protection policière dans un hôtel japonais, en attendant la réponse des autorités polonaises.

Alexandre Loukachenko qui dirige la Biélorussie depuis plusieurs années d'une main de fer est considéré comme le dernier dictateur en Europe.