Confessions insolites: Ces 8 femmes se confient sur leurs sensations au moment de l'orgasme

 Ces 8 femmes se livrent sur leur intimité au moment de la jouissance. Si la dichotomie entre orgasme clitoridien et vaginal reste toujours non établie, beaucoup connaissent leur corps et savent quelle zone leur procure un orgasme.


Une femme anonyme de 33 ans n’a connu l’orgasme clitoridien que très récemment

Cette femme qui n’a pas souhaité donner son prénom n’a connu l’orgasme clitoridien que très récemment. Lorsqu’elle a commencé à avoir des rapports sexuels, elle ne jouissait que grâce à la pénétration. « C’était une grande révélation » confie-t-elle sous l’anonymat. « C’est comme deux centres de plaisir différents qui enclenchent des contractions internes » ajoute celle qui peut avoir un orgasme de deux façons.

Clee, 34 ans, est particulièrement sensible au cunnilingus

A 34 ans, Clee pense elle aussi qu’elle a pu ressentir ces deux orgasmes. Pour elle, c’est certainement une stimulation du clitoris qui l’a aidé à avoir un orgasme lors de la pénétration. La femme confie qu’elle est particulièrement sensible lors de la stimulation du membre entièrement dédié au plaisir, et ce, particulièrement lorsqu’on lui fait un cunnilingus. Lorsqu’elle en parle, elle a du mal à trouver les mots : « L’orgasme clitoridien est différent du vaginal car le premier est plus léger. Mon Dieu, c’est dur de trouver des adjectifs pour les décrire ! » s’exclame-t-elle.

Pour Jacqui, 38 ans, les orgasmes clitoridiens durent plus longtemps

Jacqui, 38 ans a également expérimenté ces deux jouissances différentes. A l’inverse des témoignages précédents, elle révèle plus de détails quant à l’orgasme clitoridien. « D’après ma propre expérience, les orgasmes clitoridiens durent plus longtemps et provoquent une réaction plus durable et cela rend les muqueuses plus sensibles » décrit-elle. Elle explique que contrairement à l’orgasme vaginal, il faut attendre plus de temps avant d’en avoir un autre.

Lizzie, 30 ans, est une femme fontaine

Si l’expérience de Lizzie, une trentenaire, est atypique, c’est qu’elle fait partie de ceux qu’on appelle les femmes fontaines. Puisqu’elle connaît son point G, elle peut avoir une éjaculation féminine. A l’inverse des autres témoignages, elle n’a pas de sensations cérébrales lors de cette stimulation à l’effet particulier. Elle nuance : « Lorsque le clitoris est stimulé, c’est l’effervescence dans mon esprit. Cette expérience corporelle me submerge alors complétement. » Elle dit préférer nettement les orgasmes clitoridiens. « Ils se produisent plus lentement pour moi » décrit-elle.

Lauren, 32 ans, décrit l’orgasme comme une « éruption de plaisir »

La femme de 32 ans parle de l’orgasme comme d’une « éruption de plaisir ». Elle ressent que le vaginal est au contraire plus profond et fréquent et surgit par vagues. « Il n’est pas concentré en un seul endroit et le plaisir n’est pas aussi élevé mais c’est intense » témoigne Lauren. Elle ajoute qu’elle ressent la jouissance lors de la pénétration à partir de ces hanches à contrario de celui qui résulte d’une stimulation du clitoris, qui est caractérisé par 11 choses étonnantes, qu’elle qualifie « d’explosif ».

Cynthia, 72 ans, dit être exclusivement clitoridienne

Cette femme de 72 ans est persuadée que tous ses orgasmes sont issus d’une stimulation du clitoris « qu’elle soit directe ou indirecte ». Lorsqu’elle ressent une jouissance vaginale, elle est certaines qu’il s’agit de sa peau qui appuie sur cet organe long de 10 centimètres. Une femme exclusivement clitoridienne donc, si l’on en croit la théorie qu’ont développé de nombreux spécialistes de la question sexuelle.

Gwen, 29 ans, connait son point A

Si Lizzie a révélé être une femme fontaine, Gwen, 29 ans est l’une des rares chanceuses à avoir découvert son point A. Celui-ci est situé au-dessus du point G, proche de l’utérus, et lorsqu’il est stimulé, il provoque un orgasme vaginal explosif. « Les orgasmes du clitoris sont plus faciles à avoir mais je ne les obtiens pas toujours par voie orale » précise-t-elle. Quant à son orgasme, elle explique qu’il n’est pas toujours facile de l’avoir avec son partenaire mais au contraire plus aisé de jouir avec la masturbation, une habitude qui renforcerait le système immunitaire.

Diana, 32 ans, a du mal à atteindre l’orgasme vaginal

Pour cette femme, il est difficile d’atteindre l’orgasme vaginal sans sextoy. Sans l’utiliser, sa jouissance provient du clitoris. Elle décrit cet orgasme avec précision : « Il y’a une brève sensation de picotement et un relâchement qui me fait me sentir plus légère à la fin » Elle explique, comme les précédents témoignages que lorsqu’elle jouit par pénétration, c’est un plaisir beaucoup plus profond. « Ma peau est plus sensible, il m’arrive de transpirer et même de trembler. C’est presque animal et cela me satisfait plus sexuellement. En revanche, cela m’épuise » témoigne-t-elle.