Pour avoir ignoré la mesure du confinement, une femme se fait brutaliser et blesser par la police !

Les faits ce passent au Nigéria où une jeune femme goûte à une bavure policière en cette période de confinement. Bien évidemment, cette situation de crise sanitaire, interpellant nos autorités, ont obligés ces derniers à prendre des mesures iguanes pour stopper la propagation du coronavirus. Parmi elle, le confinement vient en tête de liste. Ainsi donc, tout le monde reste chez soi pour la sécurité de tous. Pour avoir ignoré cette mesure prise par l'Etat Nigérian, une femme en payera le prix fort. 


Au soir du confinement, deux policiers ont verbalisé une femme dans l'Etat d'Osun. Sans lui laisser le temps de placer un mot, la bastonnade a commencé, étant sans doutes les quelques minutes, les plus douloureux et humiliants de la jeune femme. Les policiers concernés, n'étaient sans doute pas au courant qu'une caméra filmait toute la scène. La vidéo virale deviendra dans la minute qui suit, indignant tous les internautes qui s'accordaient à penser qu'une femme ne devait pas faire l'objet de violences malgré sa faute. 


L'Inspecteur Général de la police Nigériane s'est publiquement exprimé sur cette incident qu'il condamne avec la plus grande fermeté. Pour rassurer la victime ainsi que l'opinion publique, il annonce l'ouverture d'une enquête pour situer les responsabilités. « L'inspecteur général de la police, Mohammed Adamu, condamne cette agression injustifiée et inutile contre cette citoyenne innocente au marché Odo Ori, Iwo, dans l'État d'Osun, par des hommes de la Force rattachée à la division Iwo, du commandement d'Osun. »

« Le commissaire de police en charge de l?État d'Osun où l'incident s'est produit, a arrêté les officiers impliqués dans ce malheureux incident. Les deux policiers, Ikuesan Taiwo et Abass Ibrahim sont actuellement en détention et leur procès a déjà commencé » Déclare l'Inspecteur Général de la police. 

De son côté, la jeune femme encore meurtrie de cet acte odieux a dévoilé une partie de son corps couverts de bleues et d'hématomes, tout en déplorant l'acte dont elle a été victime.