Accusé d’avoir refusé d’être placé en quarantaine à INJS, Max Gradel brise enfin le silence.

Dans une vidéo postée sur les réseaux sociaux ce vendredi 27 mars 2020, Max Gradel, l’international ivoirien accusé d’avoir refusé d’être placé en quarantaine à l’Institut national de la jeunesse et des sports (INJS) à son arrivée à Abidjan, le 17 mars dernier en provenance de la France, répond à ses détracteurs. Il dit sa part de vérité.


" Bonjour, je suis ici pour éclaircir un sujet me concernant, l’affaire de l’INJS. Il y a une vidéo qui circulait comme quoi, je me refusais de me soumettre au test. Ce qui est faux. Ce jour-là, je suis arrivée à 18 heures à Abidjan et de cette heure, jusqu’à minuit, j’étais à l’aéroport. Quand j’avais fini à l’aéroport, je me suis rendu à l’INJS. Et a mon arrivée, il y avait un scandale pas possible. C’est ainsi qu’on nous a demandé de rentrer chez nous que des médecins allaient nous contacter dans les jours à venir. C’est ainsi, que je suis rentré chez moi. Maintenant, qui a dit quoi, qui a fait quoi, ce n’est pas mon problème ", a indiqué Max Gradel sans toutefois citer celui ou celle qui lui a donné l’ordre de rentrer chez lui.


Avant d'ajouter : " Quelques jours plus tard, les médecins nous ont contactés. Je suis allé faire mon test a l’INJS. J’ai fait ce que j’avais à faire et je suis rentré chez moi. Tout cet acharnement derrière, qui a fait quoi, pourquoi…ça ne sert à rien. Il faut arrêter de créer des histoires pour rien. Voilà ce que j’avais à dire sur ce sujet-là. J’espère avoir été clair sur ce sujet ", a expliqué l’international ivoirien évoluant à Toulouse Fc en France .
 

Au total, une soixantaine des personnes proches du pouvoir ont été exemptées par la mesure de quarantaine. Ce qui a provoqué un tollé dans le bus qui conduisait les passagers à l’INJS.